Plasma

Il y a environ 20 ans, j’ai voulu aller donner mon plasma.
Super accueil, car une nouvelle donneuse arrivait, remarque sur le fait que j’avais un très joli plasma (seule une infirmière de l’EFS peut faire un tel compliment ;-)) et puis galère, impossible de finir, veine merdique, papillon devant les yeux et on m’a dit de ne pas revenir et de rester au sang total.

Lors de mon dernier don de sang, courrier de l’EFS (d’habitude, je reçois ces courriers pour me dire que je suis anémiée) me disant que mon sang était de bonne qualité, avec un taux d’anticorps hépatite B élevé et que ce serait vraiment sympa si je pouvais donner mon plasma pour les grands brûlés et les prémas.

N’écoutant que mon courage (et flippant un max quand même), j’ai pris RV (en prévoyant un chauffeur au cas où je tombe dans les pommes !) pour faire un don.
Le médecin a demandé que ne soit prélevé qu’une petite poche pour éviter les soucis, le processus du don a été modifié en 20 ans et… tout s’est bien passé (par contre, le livre papier ce n’est pas une bonne idée, on ne peut pas tourner les pages. La liseuse est tip top pour ça !).
Je suis donc prête à y retourner, pas tous les 15 jours (je pense que mes veines ne supporteront pas le choc), mais de temps en temps ce sera possible (et puis 1h de tranquillité et de lecture, ça ne se refuse pas !)

Par contre… ce n’est toujours pas pour la qualité gastronomique du repas post don que tu y vas…


On peut admirer au passage mes nouvelles lunettes que je ne porte pas sur le nez à cause de la buée (d’où l’intérêt de les avoir, on est bien d’accord ;-))


Oui, j’avoue, je suis super fière d’avoir réussi à remplir ma poche avec comme seul souci quelques fourmis dans les doigts sur la fin !

Petits chapeaux

Fin juin, j’ai promis à Rémi un chapeau girafe.
Sauf qu’avec le mauvais temps, la motivation pour coudre des chapeaux n’étaient pas vraiment là.
Le soleil étant un peu venu j’en ai profité pour sortir la machine 😉


Info du jour, j’ai de nouvelles lunettes, comme toutes les filles de la maison !




Reste à tricoter l’écharpe aux couleurs de Gryffondor

Ô rage, Orage…

Nous nous sommes pris un orage hyper violent le 12 août.

D’abord, de l’eau à commencé à rentrer sous la porte… une serpillière, encore une serpillière, puis une pile de serpillières…
Puis plus d’électricité. Pas de soucis, on cherche les bougies et on allume un peu partout pour continuer à vérifier l’eau rentrant sous la porte… puis… de l’eau qui coule dans l’escalier (pas du goutte à goutte, comme un robinet ouvert, doucement, mais quand même).
Direction le grenier (dans le noir), avec des bassines (on est bien d’accord, c’est Théodore qui est monté… moi je n’en étais pas capable et Christophe était au boulot) et avec comme mission de trouver la fuite et de mettre une bassine dessous.
Sauf que… « maman y’a pas de fuite, ça coule de partout » et en parallèle Clémence en train de dire « ça coule dans la chambre sur le lit de Rémi ».
Donc serpillières dans le grenier, sur le lit, par terre dans la chambre, dans l’escalier… Et toujours pas de fuite identifiée.
En fait, le vent faisait remonter la pluie et la faisait passer sous les tuiles, donc effectivement, ça coulait de partout sur le pan sud.
Le côté eau qui coule dans la maison, quand on s’éclaire à la lumière du portable ou des bougies, ça a vraiment un côté flippant et surtout, on ne peux rien faire pour arrêter le truc.

Pour nous ça a duré une éternité, dans la vraie vie, ça a duré 30 minutes… 30 minutes vraiment longues…

Chez les voisins il y a eu des tuiles arrachées, des arbres déracinés. On s’en est plutôt bien tiré.

À chaque fois que j’ouvre mes placards, je me dis qu’on a quand même énormément de serpillières et de serviettes et qu’il faudrait peut-être en donner.
Après l’orage qu’on a vécu, je peux dire qu’on en a tout juste le bon nombre.
Heureusement le lendemain il faisait beau, Christophe a pu aller ouvrir les fenêtres des greniers pour faire sécher et on a pu laver et sécher 3/4 lessives de serpillières/serviettes.

WE à deux

Nous avons profité de papy et mamy pour se faire un WE à deux.
18h de tranquillité sans entendre « maman » en permanence, sans fesses à essuyer, sans repas à préparer… Le bonheur.

Et top du top, un resto avec que du fait maison et des produits locaux (si vous cherchez une adresse à Audincourt, La Brasserie du 7e art, vaut le détour) et une soirée ciné pour voir autre chose qu’un dessin animé 😉 (Kaamelott bien sûr !)

J’ai faillit me faire recaler à l’entrée du ciné. Mon QR code ne fonctionnait pas (enfin il n’arrivait pas à le biper), du coup, celui qui vérifiait m’a dit qu’il voulait juste voir que j’avais mes 2 doses de vaccin… Oui mais je n’en ai qu’une ! 1/1, car j’ai eu le covid, mais ça le perturbait un peu, donc retour vers le QR code et ouf, ça a bien noté valide on a pu y aller !


Expo dans le cinéma



Et une géocache 😉




Tonte

Beaucoup de retard cette année pour tondre notre mouton, mais beaucoup de retard chez tout le monde à cause du mauvais temps (il faut que la laine soit sèche pour qu’elle puisse être tondue).
Grâce à la ferme d’où sont issus nos moutons, nous avons trouvé quelqu’un pour les tondre (et m’éviter de le faire à la main comme l’an passé… Ouf !).
Bien galère, car Polynectar n’avait jamais été tondu.
On a découvert que l’expression « têtu comme un âne » pouvait se remplacer par « têtu comme un Ouessant ». Il nous a fait un refus d’avancer, en se couchant par terre. Résultat, un tirant sur les cornes, un poussant le derrière… Encore un grand moment !


Moment drôle quand une fois la tonte faite, Salicorne n’a pas suivi son frère pour retourner au pré. Elle est restée près de la toison. Nous avons dû la forcer à aller dans le pré et elle a mis un moment à reconnaître son frère.
Celle qui est venue tondre nous disait que quand elle tondait des brebis ayant des agneaux, les agneaux restaient vers la toison et ne reconnaissaient pas leur mère.