1er jour de l’Avent

Direction la République Tchèque avec au petit déjeuner une vanocka (sorte de brioche. On a retiré les raisins secs et Théodore m’a conseillé de mettre des pépites de chocolat à la place… on ne se refait pas).


Le violon (pour les luthiers de Prague) a été placé sur le planisphère et Rémi a, avant de partir à l’école, commencé son coloriage.







Clémence a un peu paniqué et m’a demandé s’ils devaient jeûner aujourd’hui et si on allait manger une carpe ce soir. Non non ! un seul plat du pays par jour 😉
Elle est par contre complètement en panique concernant le ragoût de phoque pour l’étape du Groenland !

Ce soir, nous écouterons l’histoire du bon roi Wenceslas (vive les Raconte-moi des histoires !)

Calendrier de l’Avent

Il y a quelque temps, j’avais repéré ce calendrier. Je le trouvais complètement génial et il me faisait vraiment vraiment envie, mais en période post covid, clairement, je n’avais pas l’énergie de m’y mettre.
Et puis quand même, il est extraordinaire…


On s’est donc lancé ce WE avec Christophe pour le faire.



Nous avons donc la base (merci à la découpeuse sur qui on peut compter quoi qu’il arrive) et chaque jour de décembre jusqu’à Noël, nous partirons dans un coin du monde pour découvrir une tradition de Noël et compléter le calendrier.

Homme orchestre

Félix a commencé cette année le cornet à pistons. Son but étant de jouer un jour du soubassophone ou de l’hélicon… enfin quand il aura sa propre voiture, parce que d’ici là, ça ne rentre pas dans la nôtre !
Il apprécie vraiment et malgré les confinements successifs, il s’en sort plutôt bien. Pour le voir jouer, c’est ici.

Avec l’école, il y a un partenariat avec le conservatoire de Roanne (on avait déjà eu ça il y a deux ans avec Clémence, et c’est ce qui lui avait fait découvrir la flûte traversière) et les CE2. Félix a donc débuté l’alto et ça lui plaît vraiment (bon, faut avouer qu’avoir la même année un gamin qui débute en violon et en trompette, c’est rude pour les oreilles de la maman… Mes copines ont eu pitié et m’ont offert des boules quies)
Le violon vient de l’atelier de Julien Perey, qui est le luthier chez qui Théodore a fait son stage (et chez qui on a fait monter son violon).

« Je crois que je préfère l’alto à la trompette parce que la trompette, ça m’use de l’air »