La pluie n’étant pas annoncée pour ce week-end, nous avons décidé d’aller à Courzieu pour voir les loups et les rapaces (en plus, nous avions des billets à utiliser rapidement).
Après un réveil un peu difficile, nous avons pu partir et arriver les premiers à l’ouverture du parc.
Le repas des loups n’ayant lieu qu’à 11h30, nous avions un peu de temps devant nous pour aller dans la vallée des loups (et ramasser quelques noisettes en chemin, parce qu’on ne se refait pas !).
Problème de taille lorsqu’il a fallu se jeter dans la gueule du loup. Plusieurs passages pour franchir cet « obstacle » : la langue, une porte ou un tuyau. Clémence a refusé de monter par la langue (Théodore y est allé puis a fait demi-tour une fois à l’intérieur), de passer par le tuyau (parce qu’elle ne savait pas ce qu’il y avait de l’autre côté) et après un pas par l’ouverture sur le côté a refusé d’aller plus loin. On a recommencé en chantant « Promenons-nous dans les bois » pour nous donner du courage et franchir les ténèbres où luisaient des yeux de loups et où retentissaient des hurlements de loups…
Pas rassurée du tout notre grande puce…
Quelques mètre plus loin, une animation interdite aux moins de 4 ans. Je suis donc restée avec les filles (et Félix) et Théodore y est allé vaillamment avec son papa.
Pendant que nous attendions dehors, nous avons entendu un hurlement et vu ressortir Théodore dans les bras de son papa… Visiblement, c’était très impressionnant aussi…
Pour nous remettre de nos émotions, nous avons attendu le repas des loups pendant que les 3 grands jouaient… au loup !
Après le pique-nique, direction le spectacle des rapaces. Clémence n’était pas très rassurée de voir ces grands oiseaux voler aussi bas, rasant nos têtes. Pour se faire pardonner, l’un d’eux lui a donné une plume.
Un petit arrêt aux jeux (avec une gamelle mémorable d’Agathe, sauvé par 3 mamans (la sienne et deux autres) qui se sont précipitées pour l’encadrer et arrêter sa chute tête la première !) et direction les escargots (beaucoup moins impressionnants).
Dernier spectacle : les chouettes et hiboux. Un peu perturbés par le vent, ils n’ont pas toujours obéi aux dresseurs et quand nous sommes partis, ils en cherchaient toujours qui n’étaient pas revenus au bercail.
Au final, une journée bien fatigante, riche en émotions (bonnes ou mauvaises) et des souvenirs pleins la tête !