Le kézako est en fait une presse à… nougats !
Ayant du miel à disposition, nous nous sommes lancés dans la confection de nougats.
Après un premier essai de nougat noir en utilisant des moules en alu emboîtés l’un dans l’autre (celui du bas ayant le nougat, celui du dessus, de l’eau pour faire du poids), Christophe s’est fabriqué un moule à nougat.
Le deuxième essai a eu lieu avec le moule tout neuf et des serres-joints pour bien serrer la préparation.
Christophe ayant réussi son nougat, j’étais obligée de me lancer moi aussi… après le noir, j’ai donc entrepris de faire du blanc.
Le moule a donc resservi et le résultat est plutôt pas mal !
Séchage de l’appareil à nougat. Au début c’est bien liquide et au fur et à mesure, ça prend de la consistance.
L’appareil à nougat se détache des parois de la casserole. Il est temps d’incorporer les fruits secs
Deux invités sur la photo. Félix et Agathe !
Démoulage…
Voici les recettes
Nougat noir
200g de miel
200g de fruits secs
Faire bouillir le miel, puis incorporer les fruits secs. Continuer à cuire à feu doux pour maintenir une légère ébullition sans laisser attacher (chez nous, sur notre plaque à induction, à 2 sur 15) jusqu’à entendre les fruits éclater (on ne les a pas du tout entendus… disons que quand il ne reste quasi plus de liquide dans la casserole, c’est bon !)
***
Nougat blanc
175g de miel
100g de sucre
32g d’eau
1 blanc d’œuf
200g de fruits secs.
Mettre dans une casserole le miel, le sucre (moins une cuillère à café) et l’eau.
Faire cuire jusqu’à ce que ça atteigne 140°C en nettoyant régulièrement le tour de la casserole pour que les projections de sucre ne colorent pas le reste trop rapidement (visiblement, je n’ai pas assez nettoyé, d’où la couleur crème de mon nougat)
En parallèle, mettre les fruits secs au four pour les faire griller. Les laisser dans le four une fois que cela est fait pour qu’ils restent chauds.
Battre en neige un blanc d’œuf. Quand il est bien monté, le serrer en ajoutant la cuillère de sucre prélevée plus haut.
Quand le sirop atteint la température requise, le verser (entre les fouets du batteur) sur le blanc d’œuf monté en neige et battre environ 1 minute.
Remettre sur le feu (ici, induction et j’ai mis à 2), pendant un certain temps jusqu’à ce que la masse se détache des parois, puis ajouter les fruits secs.
Mettre dans le moule préalablement recouvert de papier sulfurisé. Recouvrir de papier sulfurisé, bien tasser et mettre un poids dessus. Attendre que ça refroidisse avant dégustation.
ça y est, on sait !
Maintenant, on pourra peut-être goûter un jour : on vous départagera 😉
Bisous
Bon, alors ça y est, c’est refroidi, on peut déguster ?!
…J’arrive un peu tard, ce n’est pas dit qu’il en reste, en fait !
miam!miam!